La Médecine Mécanique

La médecine mécanique expliquée

Comprenez, plus en détails, ce que nous faisons , ce qu'est la médecine mécanique, son champ d’intervention et à qui elle s’adresse.

  • Slide title

    Write your caption here
    Button

La médecine mécanique, qu’est-ce que c’est ?

La Médecine Mécanique est la médecine du « dépannage »

  • Lire la suite

     articulaire et péri articulaire, des vertèbres comme des articulations périphériques.


    Grâce à ce dépannage articulaire, elle va pouvoir traiter de multiples problèmes, bien au-delà des simples douleurs articulaires. 

    Lire la suite [ Notion de grippage articulaire : la « panne » articulaire 

    On peut comparer le fonctionnement d’une articulation à celui de deux pièces mécaniques lubrifiées. Pour que le système mécanique fonctionne normalement, les surfaces de ces pièces doivent être lisses, alignées, parfaitement lubrifiées.

    Ces conditions doivent être réunies pour permettre le glissement et/ou le roulement libre d’une surface articulaire par rapport à l’autre.

    De façon accidentelle, ce glissement et/ou ce roulement peuvent être perturbés. L’articulation n’est pas bloquée mais sa mobilité est altérée, incomplète, limitée, sensible.


    Cette panne articulaire correspond à un grippage mécanique :

    La perturbation du glissement et/ou du roulement va provoquer un dysfonctionnement de l’articulation et avoir des répercussions au-delà.


    Une articulation grippée va perdre une partie de sa mobilité, la flexion ou l’extension n’étant pas complète par exemple, ou bien cette mobilité va se faire avec l’impression d’une résistance anormale , des douleurs. L’axe de l’articulation pourra être modifié.

    Ce grippage articulaire va perturber le fonctionnement des articulations adjacentes (le fait de mal marcher après une entorse de la cheville va rapidement perturber le fonctionnement du genou, de la hanche, voire au-delà).

    Il va entraîner des contractures musculaires et fréquemment même des souffrances tendineuses.

    De très nombreuses tendinites sont en fait la conséquence d’un grippage articulaire.

    C’est ce qui explique la difficulté de traiter ces tendinites, dont la guérison ne sera pas obtenue tant que l’on n’aura pas supprimé la cause, à savoir un grippage articulaire.

    Au niveau de la colonne vertébrale, cette panne articulaire va provoquer une souffrance des structures nerveuse,s ce qui pourra être l’origine de douleurs ressenties à distance (douleurs sciatiques, cruralgies, névralgies cervico brachiales, névralgies multiples, céphalées, douleurs projetées…) de perturbations neurologiques vraies (vertiges, acouphènes,…).

    Ce modèle mécanique s’applique à la pathologie vertébrale, discale et/ou articulaire, et aux lésions associées péri articulaires.


    La médecine mécanique permet de lever les grippages des articulations :

    La médecine mécanique propose un mode de traitement du rachis totalement différent des autres techniques de soin manuel, respectant totalement l’anatomie, la physiologie, et les éventuelles lésions régionales.


    dégrippage: le retour de la liberté articulaire

    le retour de la liberté articulaire


    Elle permet de libérer toutes les articulations du corps et, à travers cette libération, de traiter de multiples problèmes, bien au delà des simples douleurs articulaires.

    Ces techniques sont logiques et cohérentes avec la notion de grippage sous-jacent et la sémiologie constatée

  • Rachis

    Les manœuvres vertébrales sont effectuées sur le rachis en position neutre, sans aucune contrainte en rotation ou en  inflexion latérale ; il s’agit d’un traitement en décompression, strictement dans l’axe. Nous ne pratiquons pas de rotation. L’axe nerveux, vasculaire, vertébral est totalement respecté.

    Cela est tout particulièrement important au niveau cervical, les artères vertébrales étant très exposées lors des manœuvres en rotation du cou.

    Le respect strict de l’axe de la colonne vertébrale et la réalisation d’un traitement purement décompressif permet de traiter des colonnes vertébrales même très abîmées. Ce traitement mécanique est tout à fait indiqué pour des douleurs mécaniques simples (lumbago, lombalgies chroniques, dorsalgies, cervicalgies,…) ou pour des rachis beaucoup plus dégradés (lésions d’arthrose multiples, discopathies, hernies discales…).

    Articulations périphériques :

    Les manœuvres articulaires périphériques sont réalisées en associant décoaptation, réalignement des axes, restauration du couple roulement-glissement.

    Seule l’amplitude physiologique ou disponible est utilisée.

    Des manœuvres adaptées aux grippages et lésions péri articulaires ( muscles, tendons) sont aussi utilisées.

  • Conclusion

    La médecine mécanique permet donc de restaurer le fonctionnement normal des articulations, périphériques ou de la colonne vertébrale. À travers cette libération mécanique, elle peut apporter une solution à de multiples problèmes : douleurs vertébrales ou des articulations périphériques, contractures musculaires, blocage cervical ou lombaire, tendinites, maux de tête ou migraines, vertiges, certaines douleurs abdominales ou gynécologiques, certains troubles du transit, sciatiques, cruralgies, névralgies cervico brachiales… il s’agit d’une liste non exhaustive.


    Une prise en charge de médecine mécanique permet de sortir d’une situation évoluant depuis des années et n’ayant pas trouvé de solution.]

La médecine mécanique, par qui ?

La pratique de ces actes diagnostiques et thérapeutiques est réservée aux seuls médecins spécifiquement formés et disposant donc d’une « double culture », médicale et manuelle.

Lire la suite [Avant la réalisation de toute manipulation, il est primordial d’établir un double diagnostic.

  • Diagnostic lésionnel médical initial

    Le médecin mécanicien réalise un interrogatoire et un examen clinique soigneux qui permet d’éliminer une autre pathologie (il n’y a pas que les problèmes vertébraux qui peuvent donner des douleurs lombaires par exemple), de rechercher d’éventuelles contre-indications (rares) au traitement mécanique.

    Il s’agit d’un temps médical authentique, qui peut déboucher sur la prescription d’examens complémentaires, biologiques, radiologiques,….

  • Diagnostic lésionnel mécanique

    Les manœuvres vertébrales sont effectuées sur le rachis en position neutre, sans aucune contrainte en rotation ou en  inflexion latérale ; il s’agit d’un traitement en décompression, strictement dans l’axe. Nous ne pratiquons pas de rotation. L’axe nerveux, vasculaire, vertébral est totalement respecté.

    Cela est tout particulièrement important au niveau cervical, les artères vertébrales étant très exposées lors des manœuvres en rotation du cou.

    Le respect strict de l’axe de la colonne vertébrale et la réalisation d’un traitement purement décompressif permet de traiter des colonnes vertébrales même très abîmées. Ce traitement mécanique est tout à fait indiqué pour des douleurs mécaniques simples (lumbago, lombalgies chroniques, dorsalgies, cervicalgies,…) ou pour des rachis beaucoup plus dégradés (lésions d’arthrose multiples, discopathies, hernies discales…).

    Articulations périphériques :

    Les manœuvres articulaires périphériques sont réalisées en associant décoaptation, réalignement des axes, restauration du couple roulement-glissement.

    Seule l’amplitude physiologique ou disponible est utilisée.

    Des manœuvres adaptées aux grippages et lésions péri articulaires ( muscles, tendons) sont aussi utilisées.

  • Slide title

    Write your caption here
    Button
  • Slide title

    Write your caption here
    Button

À qui s’adresse la médecine mécanique ?

Le patient et sa douleur

La notion de grippage articulaire pourrait faire penser que cette technique de soins manuels ne s’adresse qu’aux problèmes articulaires.

Il n’en est rien !

  • Lire la suite

    Nombre de pathologies sans aucun signe articulaire ressenti sont en fait la conséquence plus ou moins directe de problèmes mécaniques du corps humain.


    Lire la suite [Parfois, il s’agit d’un problème mécanique pur avec une douleur ressentie localement. C’est, par exemple, le cas de l’entorse de la cheville récente, n’ayant pas eu le temps de provoquer de conséquences à distance, du lumbago aigu, d’une douleur articulaire post-traumatique,…


    Dans d’autres cas, les troubles sont ressentis en périphérie de l’articulation. Une articulation grippée va provoquer le surmenage mécanique d’un ou plusieurs tendons, d’où de multiples tendinites, de souffrances musculaires, de contractures, d’aponévrosites plantaires.


    D’autrefois, les douleurs sont ressenties à distance, projetées : maux de tête de tous types, douleurs décrites comme des tendinites mais qui n’en sont pas (souvent le cas des tendinites de l’épaule, des tendinites du moyen fessier, des souffrances du TFL…), douleurs abdominales, douleurs « ovariennes », douleurs « testiculaires ».


    Du fait des perturbations mécaniques, des structures nerveuses peuvent authentiquement souffrir : douleurs névralgiques, sciatiques, cruralgies, névralgies d’Arnold, névralgies cervico brachiales, douleurs de la face, sensation vertigineuse, parfois même acouphènes.


    La médecine mécanique, dont le modèle a été élaboré par le Docteur Albert PÉCUNIA, propose donc une lecture tout à fait originale du corps humain, permettant le diagnostic de troubles mécaniques et le traitement, efficace et en toute sécurité, de multiples problèmes.


    Le praticien de médecine mécanique reste un médecin, ce qui est le gage d’une prise en charge réellement globale de votre état de santé, la décision de manipulation n’étant prise qu’après un double diagnostic, médical et mécanique.

    Médecine Mécanique et grand âge

    La médecine mécanique, comme son nom l’indique, ne doit être pratiquée que par des médecins formés et entraînés. Ceux-ci possèdent de solides connaissances en anatomie et en physiologie articulaire mais ils restent avant tout des médecins, capables de retrouver derrière un symptôme banal d’allure mécanique, une pathologie nécessitant un traitement différent.


    La médecine mécanique n’est pas  dangereuse et n’a que de très rares contre-indications, comme toute technique médicale. Pratiquée avec discernement et bon sens, elle doit respecter certaines précautions d’emploi. Le grand âge du patient fait partie de celles-ci.


    Dans ce cadre, elle reste toutefois très intéressante, permettant de soulager et souvent de guérir les personnes âgées, chez qui les médicaments présentent souvent des contre-indications ou des effets secondaires qui limitent leur utilisation.


    Les contre-indications de la médecine mécanique chez les personnes très âgées sont le plus souvent relatives et ne diffèrent guère de celles rencontrées chez les autres patients.  Aussi parlons plutôt des précautions d’emploi.


    La liste suivante n’est pas exhaustive mais permettra de mieux situer notre pratique, en faisant prévaloir l’expérience médicale et le bon sens. Prudence donc dans les situations suivantes :


    les prothèses vasculaires

    les prothèses des grosses articulations

    les anévrismes artériels

    les fractures récentes

    l’arthrose majeure

    l’obésité majeure

    les tumeurs osseuses

    l’insuffisance cardiaque évoluée

    les démences et autres troubles psychotiques

    la pusillanimité

    Toutes ces situations, qui, il faut le répéter ne sont pas forcément de vraies contre-indications, doivent être réfléchies et discutées avec le patient. Primum non nocere ! Mais il ne faut pas perdre de vue que la médecine mécanique, pratiquée depuis plus de cinquante ans par de nombreux médecins, a largement fait ses preuves, et qu’elle obéit à une logique anatomique et mécanique permettant de rétablir à elle seule un bon fonctionnement 

  • Médecine Mécanique et grossesse

    La lombalgie de la femme enceinte devient un motif de consultation de plus en plus fréquent. Nombreuses sont les femmes qui ne l’acceptent plus comme une fatalité et il est  important aujourd’hui de les soulager au mieux des connaissances médicales. La lombalgie est attribuée à des facteurs hormonaux (action de la relaxine) mais surtout à l’augmentation des contraintes mécaniques sur le rachis lombo-sacré (prise de poids et changement du centre de gravité).


    L’estimation de sa fréquence varie entre 24 et 56% selon les études. Sa fréquence est maximale lors des deux premiers trimestres de la grossesse pour rester stable ensuite. En moyenne, les lombalgies débutent entre le 5ème et le 6ème mois de grossesse.


    Si la lombalgie est souvent bien vécue, les conséquences peuvent être importantes sur le quotidien. Ainsi, 30 % des patientes se disent invalidées par la douleur et un tiers se plaignent de troubles du sommeil. Parmi les parturientes lombalgiques, 15 à 20 % sont amenées à consulter un spécialiste.


    Il faut rappeler que les grossesses sont de plus en plus tardives et les patientes professionnellement de plus en plus actives donc exigeantes sur la qualité du déroulement de leur grossesse. 10 % d’entre elles se voient prescrire un arrêt de travail d’une durée moyenne de 7 semaines. (1)


    Pouvoir rattacher cette doléance à une souffrance d’organe, à une tension musculaire ou une compression radiculaire ou tronculaire impose une connaissance des caractères propres à chacune de ces algies.


    La connaissance par le praticien de la physiopathologie de ces lombalgies ainsi que les différents diagnostics différentiels chez la femme enceinte est donc indispensable. L’examen clinique minutieux et complet assure un diagnostic précis.


    Devant la pauvreté des thérapeutiques médicamenteuses durant la grossesse, les techniques de dégrippage articulaire du rachis lombo-sacré ont une place  importante dans la prise en charge des lombalgies. Les techniques de Pécunia sont particulièrement bien adaptées à la femme enceinte quel que soit le terme, pas de pression sur l’abdomen comme avec les techniques des ostéopathes donc pas de risque pour le fœtus. La technique Pécunia du fait de son innocuité pour le fétus et la mère peut être répétée dès la récidive des douleurs, certaines femmes sont venues consulter jusque dans les derniers jours de la grossesse.]

Indications de la médecine mécanique

De multiples troubles du fonctionnement du corps humain, de multiples douleurs et pas seulement articulaires, douleurs abdominales, gynécologiques, des maux de tête, des vertiges, voire des acouphènes.

  • Lire la suite

    Douleurs articulaires :

    Une cheville vous fait mal en marchant, vous gêne pour vous accroupir, est instable.

    Vous avez une douleur du genou, sur la rotule par exemple.

    Vous ne pouvez dormir appuyé sur une épaule, vous êtes gêné pour enfiler une veste.

    Vous ne pouvez vous appuyer sur une main, vous avez moins de force.

    Il ne s’agit là que de quelques exemples de ce que peut provoquer un grippage articulaire.

    Le grippage mécanique d’une articulation perturbe son fonctionnement. L’articulation est sensible ; elle n’est pas vraiment bloquée mais ne plie pas ou ne tend pas à fond

    Toutes les articulations du corps humain peuvent être touchées, même les mâchoires.


    La médecine mécanique est par excellence le traitement de ces souffrances articulaires. La présence d’arthrose à la radiographique n’est absolument pas une contre-indication.


    Tendinites, contractures :

    Une articulation qui fonctionne mal va soumettre les tendons et les muscles qui la mobilisent à des efforts exagérés, les faire souffrir. C’est un des mécanisme les plus fréquents des tendinites et des contractures

    Les signes de tendinite à l’échographie ou à l’I.R.M. ne montrent que la souffrance des tendons , ne donnent pas d’indication sur l’origine de leur souffrance.

    Ne s’occuper que du tendon ou du muscle douloureux revient à ne s’occuper que de la conséquence et pas de la cause.

    Tant que l’on n’aura pas supprimé cette cause, que l’on n’aura pas identifié et libéré les articulations grippées, la douleur tendineuse persistera, les contractures réapparaîtront.

    Inversement, la libération mécanique articulaire mais également des tendons et des muscles permettra ensuite de retrouver rapidement les conditions de la guérison.


    Douleurs du rachis :

    Lumbago, lombalgies chroniques, blocages lombaires récidivants, ces douleurs de la partie basse du dos qui empoisonnent l’existence, reviennent, malgré de multiples traitements, de la rééducation.

    Dorsalgies, douleurs entre les omoplates en fin de journée, douleurs qui se propagent à l’avant du thorax, dans la poitrine et qui inquiètent.

    douleurs cervicales, torticolis, difficulté à tourner la tête à laquelle on finit par s’habituer, contractures sur le dessus d’une épaule.


    Toutes ces souffrances sont liées à des grippages mécaniques de la colonne vertébrale.

    La médecine mécanique propose une méthode simple, très respectueuse de l’anatomie, tout à fait physiologique, qui permet de libérer mécaniquement le rachis

    Ce traitement mécanique procure une libération complète du rachis, sans équivalent dans les autres techniques de soins manuels.

    Elle vient régulièrement à bout de douleurs et de troubles existant depuis des années, ayant résisté à de multiples traitements, y compris des manipulations, de nombreuses séances de kinésithérapie.


    Névralgies :

    Sciatique, cruralgie, névralgie d’Arnold, névralgie cervico-brachiale (NCB), névralgie de tout type.

    Les grippages mécaniques de la colonne vertébrale vont affecter des structures nerveuses, provoquant une véritable souffrance d’origine mécanique des racines nerveuses, une souffrance d’un nerf (une névralgie).

    La libération mécanique de la colonne vertébrale limite la pression exercée sur les racines nerveuses, les soulage. Elle améliore très régulièrement et rapidement les douleurs névralgiques.


    Migraines, céphalées, vertiges :


    Là encore, la souffrance mécanique du rachis cervical peut avoir des conséquences sur le fonctionnement des structures nerveuses et provoquer des troubles ressentis dans le crâne.

    Les maux de tête, migraines de type, sont fréquemment d’origine cervicale, au moins en partie.

    La libération mécanique du rachis cervical, sans danger en respectant la technique propre à la médecine mécanique, apporte très régulièrement une solution ou une amélioration importante, même pour des troubles existants depuis des années, tout à fait installés.


     Des douleurs abdominales, gynécologiques

    Pour lesquelles les différents bilans n’ont rien apporté, peuvent tout à fait être des douleurs projetées, dues à la souffrance des structures nerveuses dans la colonne vertébrale.


    Des douleurs attribuées à une tendinite

    En particulier tendinite de la hanche, du moyen fessier ou bien encore tendinite de l’épaule, du sus-épineux…

    L’origine peut tout à fait être dans la colonne vertébrale. La grippage mécanique du rachis peut origine d’une souffrance de structures nerveuses qui va être mal interprétée par le cerveau.

    C’est le mécanisme des douleurs projetées ou référées, ne s’occuper que de la zone douloureuse ne donnera alors pas de résultat. La libération mécanique du rachis, levant la souffrance des structures nerveuses et donc l’origine des douleurs, apportera par contre bien souvent la solution. Là encore, le traitement global du rachis, non dangereux et physiologique, proposé par la médecine mécanique, permettra de venir à bout de ces douleurs à distance de leur origine.


    L’approche mécanique du corps humain telle que définie par le Docteur Albert PÉCUNIA et enseignée par la société française de médecine mécanique donne un éclairage fondamentalement différent de nombreux troubles, ne trouvant souvent pas de solution durable dans d’autres techniques de soins.


    Le traitement mécanique, reposant sur le principe du dégrippage articulaire, applicable à toute articulation, dans le respect strict des structures articulaires et de leurs limites physiologiques, apporte des solutions sans équivalent.

    Pratiquée uniquement par des médecins spécifiquement formés, la médecine mécanique ( méthode PECUNIA) conjugue approche médicale et vision mécanique du corps, garantissant une approche réellement holistique de l’individu.

    Fondée sur des connaissances anatomiques, physiologiques, neurologiques validées, elle ne fait courir aucun risque au patient.

    Elle apporte très régulièrement une solution à de multiples problèmes et douleurs qui souvent avaient résisté à d’autres techniques.]

  • Slide title

    Write your caption here
    Button
  • Slide title

    Write your caption here
    Button

Douleurs mécaniques racontées en histoires

Dans cette page nous vous proposons la lecture d’histoires médicales survenues chez certains confrères pratiquant la médecine mécanique.

Ces histoires sont des cas médicaux illustrant la diversité de notre pratique médicale, la médecine mécanique ne s’occupe pas que des cervicalgies, des lombalgies banales ou des entorses.

  • Lire les histoires

    Tête du péroné

    Une jeune fille, étudiante en faculté de sport est amenée par son père pour une douleur de la face externe du genou gauche, survenue il y a 3 mois suite à un entrainement de saut en longueur. Elle marche avec deux béquilles, ne pouvant poser le pied au sol.


    Elle a passé des radios et un scanner qui n’ont rien révélé de pathologique, a pris plusieurs traitements anti-inflammatoires, fait 70 séances de kinésithérapies mais la douleur devenue invalidante persiste.


    Je l’examine et constate que c’est une douleur de la tête du péroné, et que sa cheville gauche est limitée en flexion-extension du à un grippage provoquant un dysfonctionnement péronéotibial.


    Je lui dégrippe la cheville selon les techniques de Pécunia, ainsi que la tête du péroné. Et je lui demande de faire quelques pas. Son père est très étonné de la voir marcher sans douleur.


    Elle repassera une semaine après pour vérifier son état et refaire un petit geste thérapeutique.


    Depuis la jeune fille est devenue professeur d’éducation physique.


    Douleur d’oreille

    Un patient consulte pour une douleur de l’oreille droite survenue il y a 2 mois, 24h après un voyage en avion. Il a consulté son médecin traitant et deux ORL qui lui ont prescrit des traitements locaux (gouttes auriculaires) et des antibiotiques par voie buccale associés à de la cortisone. Rien ne l’a soulagé.


    Après l’avoir interrogé, je l’examine : l’oreille (conduit auditif et tympan) n’a aucune anomalie, la gorge est propre sans infection, il n’a pas de ganglion. Mais en lui palpant le cou je réveille une douleur. Cette zone douloureuse est le muscle Sterno Cléido Mastoïdien (muscle du cou allant de la mastoïde à la clavicule). Le muscle est spasmé suite à un grippage de la charnière Occiput-C1-C2.


    Un dégrippage de la charnière selon la technique de Pécunia lève immédiatement le spasme et soulage le patient qui en se relevant a cette phrase étonnante : « c’était si simple ».


    Douleur épigastrique

    Un confrère gastro-entérologue vient me voir pour des douleurs du creux épigastrique ayant débuté il y a plusieurs mois. Il a l’impression d’une compression épigastrique, avec une gêne lorsqu’il avale ses aliments.


    La fibroscopie gastrique ne montre aucune lésion gastro-œsophagienne, l’IRM est normal ainsi que l’ECG. Devant l’absence de diagnostic de gastro-entérologue il a pensé que cela pouvait provenir de son dos et vient donc me consulter.


    A l’examen je lui trouve effectivement un grippage de la région D4-D5 et le dégrippe selon la technique de Pécunia.


    La douleur compressive est immédiatement levée et se confrère me rappellera la semaine suivante pour m’informer qu’il ne ressentait plus aucune gêne.


    Douleur urétrale

    Une patiente de 60 ans vient consulter un matin de bonne heure pour une douleur urétrale intense avec brûlures mictionnelles, l’empêchant de dormir. Cette symptomatologie est apparue après 48 heures de jardinage intensif, elle est accompagnée d’une lombalgie qui est pour la patiente secondaire en intensité.


    A l’examen clinique l’abdomen est souple et non douloureux, mais la charnière dorso-lombaire est grippée. Comme elle n’a aucun antécédent urinaire, je lui explique qu’il est fort probable que ses douleurs urinaires aient une origine rachidienne.


    Je lui propose de pratiquer un dégrippage de son rachis selon la technique de Pécunia et je lui prescris une analyse d’urine à faire si dans l’après-midi la symptomatologie urinaire est toujours présente.


    La patiente m’a rappelé téléphoniquement en début d’après-midi pour me remercier, elle ne ressentait plus aucune douleur.


    Vertiges

    Une patiente professeur d’université vient consulter pour des vertiges intenses apparus ce matin au lever, déclenchés par le moindre mouvement.


    Les tests ORL et neurologiques sont normaux, l’examen clinique montre une diminution modérée de la mobilité de la tête, provoquant les vertiges et à la palpation je lui trouve un grippage occiput-c1-c2. Je lui propose de faire un dégrippage selon la technique de Pécunia de sa charnière occiput-c1-c2.


    Ce qui a fait disparaître immédiatement les vertiges positionnels et lui a permis d’aller faire son cours.


    Pneumothorax

    Un jeune patient de 28 ans travaillant sur un chantier, a ressenti lors d’une rotation du haut du corps avec une charge dans les bras, une douleur dorsale aiguë lui coupant le souffle.


    Il va consulter un ostéopathe exerçant à proximité du chantier. Celui-ci lui conseille de se rendre au plus vite au service des urgences puisqu’il a un pneumothorax. Perplexe, le jeune homme ayant déjà entendu parler de pneumothorax rentre chez lui et attend le lendemain matin pour venir me voir.


    L’interrogatoire fait ressortir un grippage aigu dorso-costal typique de la région D7-D8. A l’examen il ne présente aucun signe pulmonaire mais confirme le diagnostic précité.


    Un dégrippage selon la technique de Pécunia le soulage immédiatement et lui permet de développer complètement sa cage thoracique.


    Talalgie

    Patiente de 34 ans venant consulter pour une douleur du talon et de la plante du pied gauche ayant débuté il y a 2 mois suite à un footing, sans traumatisme.


    Elle ne peut plus poser son pied à terre, elle est en arrêt de travail, les médecins consultés lui ont prescrit IRM, scintigraphie osseuse qui n’ont révélé aucune cause visible. Elle a été traitée par antalgiques, anti-inflammatoires, infiltrations, kinésithérapie (onde de choc, cryothérapie), sans soulagement. Le dernier rhumatologue consulté lui a conseillé d’aller voir un psy.


    A l’examen je lui trouve une cheville limitée en mobilité et un grippage des articulations du pied. Après une première séance de dégrippage selon les techniques de Pécunia, la patiente pose son pied à terre, peut marcher et s’accroupir. Je la revois au 5eme jour pour refaire une deuxième séance qui permet à la patiente de reprendre son travail.




    Céphalées

    Patient de 48 ans, sans traitement de fond et aux antécédents médicaux de syndrome  anxio-dépressif se présente au cabinet pour des céphalées hémicrâniennes droites atypiques, permanentes depuis 3 semaines sans cause précise non soulagées par les antalgiques de palier 1.


    L’examen clinique est strictement normal, pas de signe neurologique, pas de signe déficitaire, aucun point d’appel particulier pour un médecin généraliste. Mais pour le médecin de médecine manuelle, il présente à l’examen un grippage de la charnière occiput-c1-c2 droite.


    Devant ce tableau particulier et avant de lui proposer un traitement mécanique je lui prescris par sécurité une angiographie IRM cérébrale à la recherche d’un phénomène de masse, d’une malformation cérébrale vasculaire etc… En attendant de le revoir, je lui prescris un antalgique de palier 2.


    Le patient revient en consultation avec les résultats de son angio IRM qui est strictement normale.


    A l’examen clinique de contrôle, il présente toujours le grippage cervical. Je lui propose le traitement selon la technique de Pécunia qu’il accepte. Je le revois pour contrôle 2 semaines après, le patient m’explique qu’il a ressenti une disparition progressive puis quasi complète de ces céphalées.


     Une douleur peut en cacher une autre

    Patient de 31 ans, restaurateur travaillant beaucoup, vient consulter pour une douleur dans le poignet gauche, le gênant pour porter les assiettes et toute charge même légère.


    Il fait beaucoup d’efforts physiques et n’a aucun souvenir de traumatisme. L’examen du poignet montre uniquement une petite limitation à la base du pouce gauche, assez banale chez quelqu’un qui utilise beaucoup ses mains.


    J’examine tout le membre supérieur gauche et son rachis cervical. Il présente une  limitation de la mobilité cervicale en rotation avec un blocage mécanique de la jonction entre le cou et le thorax et un conflit mécanique de la jonction entre le crâne et le cou, elle apparaît ancienne et il s’y est habitué.


    Je réalise donc un traitement mécanique, selon les techniques de Pécunia, de la main, du poignet, du coude et du rachis cervical.


    Je le revois  trois semaines plus tard pour faire le point. Il souffre toujours de son poignet. Par contre, il a retrouvé une très bonne liberté cervicale et, à son grand étonnement, n’a pas souffert de migraines depuis que j’ai libéré sa colonne cervicale.


    Il me parle de migraines anciennes, le faisant souffrir très fréquemment, au point qu’il s’est habitué à leur présence et n’en n’a même pas parlé.


    Des examens complémentaires mettront en évidence des lésions des ligaments des poignets et il sera finalement opéré avec un bon résultat.


    Les maux de tête, les migraines anciennes, ont disparu. Dès qu’elles réapparaissent, je reproduis une manœuvre de dégrippage du rachis cervical qui est chaque fois très efficace. En moyenne, je le vois une à deux fois par an. Il ne consomme plus de médicaments pour les maux de tête.


    De façon très fréquente, des maux de tête de tous types et y compris étiquetés « migraines » sont liés à un trouble mécanique de la colonne cervicale. Il n’y a pas forcément de douleurs au cou. Il n’y a pas non plus obligatoirement le souvenir d’un traumatisme.


    Hanche douloureuse

    Patiente de 56 ans que je n’ai pas vue depuis sept ou huit ans.


    Je la rencontre par hasard en faisant des courses. Elle m’annonce qu’elle doit se faire poser une prothèse de hanche la semaine suivante ayant une coxarthrose lui occasionnant des douleurs permanentes. Je la regarde marcher, se pencher, pour prendre des objets dans les rayons, tout en discutant.


    Je trouve sa mobilité étonnante pour une arthrose de hanche évoluée. Je lui propose de l’examiner avec ses radiographies.


    Effectivement, à la radio, elle présente une petite image d’arthrose à la partie supérieure de l’articulation de la hanche. Les lésions ne sont pas très évoluées mais néanmoins douloureuses et rendent la réalisation d’une prothèse inévitable.


    A l’examen clinique la limitation de la mobilité de hanche est assez modérée, la douleur est ressentie  dans la fesse et sur le côté de la hanche, alors que la patiente l’attribue à l’articulation même. Le rachis lombaire est très raide, avec des signes de souffrance mécanique de cette zone.


    Je lui propose pour faciliter la chirurgie, de dégripper son rachis lombaire, selon la technique de Pécunia, et lui préconise quelques exercices simples d’entretien de la mobilité lombaire.


    Elle me rappelle le surlendemain, très étonnée car elle n’a plus mal. Je lui conseille de prendre un peu de temps avant de faire réaliser cette prothèse.


    Cette histoire date de 2009, à ce jour cette patiente n’a toujours pas de prothèse de hanche. Lorsque les douleurs reviennent, je libère à nouveau son rachis lombaire.


    Plein le dos

    Une jeune femme vient consulter pour une douleur dorso-lombaire chronique. Elle a déjà vu son médecin traitant, un rhumatologue, deux ostéopathes non médecins mais rien ne l’a soulagé.


    Je l’examine et ne trouve pas d’anomalie importante, seulement une petite diminution de la mobilité.


    Je reprends mon interrogatoire et en arrive à la conclusion que cette patiente « en a plein le dos », qu’elle ne supporte plus sa vie. Je tente de lui faire comprendre, ce qui la met en colère et elle refuse ce diagnostic, elle me dit qu’elle ne veut surtout pas aller consulter un psychothérapeute et conclue : « je ne suis pas folle ».


    Je l’ai revue quelques semaines plus tard, elle m’a raconté qu’après une longue réflexion, elle a suivi une psychothérapie qui lui a fait le plus grand bien.

Share by: